L'internat, l'école revus et corrigés par Rosenczveig...

Publié le par être parent tout simplement

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Qui contestera que nombre de jeunes, sinon d’enfants, ne sont pas mobilisés par l’école et par les études ? Qui niera que (trop) sèchent plus ou moins, et souvent plus que moins,  voire décrochent littéralement de l’école ? Et s’ils sont présents leur comportement est rapidement difficilement supportable tant par les enseignants que par les autres élèves ! Cela a toujours existé. La nouveauté tient dans le nombre d’enfants concernés même si l’immense majorité de 13 millions de moins de 18 ans suivent benoitement leur scolarité.

Ce dernier constat permet de douter de l’efficacité des programmes annoncés. Ils ne sont pas à la hauteur de l’ampleur du problème. Ils apparaissent comme des recettes par ailleurs souvent éculées.

Il est bien évident plus facile de critiquer que de proposer. Pour autant on ne doit pas s’interdire d’avoir un brin d’analyse sur ce qui nous est proposé et sur ce qui se dessine. Sinon on est dans le pur activisme voire l’illusion, quitte à terme à se réveiller brutalement.

J’avoue être perplexe, sinon inquiet, tellement il me semble qu’on ne s’attaque pas à la racine du problème faute d’avoir fait une analyse de ce qui justement est à l’origine des difficultés rencontrées : nombre d’enfants, sinon de parents, doutent de l’intérêt de l’école. Au mieux dans une partie des milieux populaires  on vit l’école comme une obligation et on la subit ; on pire on n’en a pas envie et on la rejette comme une punition !

On fait l’économie de cette réflexion et, tout naturellement, les réponses avancées privilégiées sont dans le strict registre répressif..... (la suite en suivant le lien)

 

 

 

 

Publié dans THEORICIENS

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